Genre :
Super-héros

Résumé : “On ne devient pas un Agent d’Humanydyne. C’est l’Agence qui te choisit. La plupart des mecs comme toi et moi rêvent simplement de gloire, de succès, de voir leur tronche sur la couverture de Time Magazine. Un Agent, lui, veut simplement faire coexister les humains et ceux qui ne font plus partie de l’humanité. Et ça, ça ne se choisit pas comme un simple métier…” 
 
  

En 2010, les super-héros arpentent le monde d'Humanydyne depuis bientôt 60 ans, et pendant que certains faisaient les marioles devant les médias de tous les pays en collants spandex, la plupart choisirent de vivre une existence aussi normale que possible, quasiment anonyme. Et parmi ceux-là, la nature humaine (et post-humaine) étant ce qu'elle est, certains choisirent d'agir pour le compte de cartels du crime, de politiciens véreux ou encore d'organisations militaires secrètes. La tension entre humains et "masques" - le surnom donné aux post-humains - ne cessa de croître, jusqu'à forcer la création d'un état autonome et indépendant où se réfugièrent la plupart des super-héros, la Madreselva, dont la capitale, San Sepulcro, est devenu une mégalopole. Mais à San Sepulcro comme dans le reste du monde, loin des caméras et du crépitement des flashs des paparazzi avides de super-images, il faut maintenir l'ordre. Et maintenir l'ordre lorsque le criminel que l'on doit stopper est capable d'éventrer un tank par la pensée relève de la gageure. Gageure qu'assume sans sourciller l'agence Humanydyne, organisme non gouvernemental composé à la fois d'humains et de post-humains. Et parmi eux, les personnages.

Les joueurs interprètent donc des post-humains recrutés par Humanydyne et qui ont pour mission de protéger la population contre les agissements de certains de leurs congénères mal intentionnés. Même s'ils disposent eux aussi de pouvoirs et de capacités surhumaines, il leur faudra avant tout veiller à la sécurité et à l'ordre, si possible sans que les médias ne viennent mettre leur nez dans leurs affaires.